À partir de 1999, en parallèle avec son travail en photographie noir et blanc, Jenny Ecoiffier s'oriente vers la photographie plasticienne. Elle renoue avec le plaisir de travailler elle-même divers matériaux comme lors de ses études à l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués à l’Industrie. Elle associe alors matériaux ou objets divers à des photographies noir et blanc puis, par la suite, à des photographies couleur en tirages numériques jet d’encre.
Inspirée par Robert Rauschenberg et ses “Combine paintings” et par les “Nouveaux réalistes”, elle crée des œuvres qu’elle nomme des “objets photojennyques”.
Ces assemblages n’ont pas peur du kitsch pour se déployer dans des installations en volume dont les dimensions varient de quelques décimètres à plusieurs mètres.